Les murs murmurent A.M.O.U.R. Le collectif V.A.N.D.A.L.E. dévoile une collection de graffitis romantiques, doux et révoltés. Ici, pas de rage sans tendresse, pas de béton sans poésie.
Marianne Barthélemy réalise une série photographique dans laquelle elle met en scène un groupe de préadolescents du territoire. Entre réalisme et rêve éveillé, Jamais plus bel été est un récit initiatique teinté d’étrangeté. La narration se développe au fil de mises en scènes photographiques en noir et blanc.
Naomi Maury présente à 40mcube une installation immersive composée d’exosquelettes lumineux, d’os en céramique, de dessins et de son. Elle invite à réfléchir à nos corps et leurs évolutions.
Explorant la voix et le langage autant que les notions de transformation et de transposition, Violaine Lochu développe une pratique artistique à la croisée des arts visuels, de la musique expérimentale et de la poésie sonore.
Vernissage : mercred 4 juin de 17h30 à 19h30.
Destination Rennes renouvelle au M.U.R. de Rennes la direction artistique du mur du Couvent des Jacobins, désormais dédié à l'art urbain. Pour cette 3e année, ce mur caractérisé par sa longueur (une trentaine de mètres) accueille de juin à septembre une composition de l'artiste Alexandre Bouchon. Féru de photo Polaroïd, Alexandre Bouchon travaille une frise de portraits qui fait écho au quartier et au thème de l'exposition qui se tient au sein du couvent cet été.
Face à un monde extérieur hostile écologiquement et politiquement, l'exposition est une métaphore souterraine où se retrouver et récupérer des forces pour affronter les périls qui viennent.
Beauregard flottant est la galerie à ciel ouvert du Frac Bretagne. Elle présente, en 2025-2026, une série de drapeaux créés par les artistes Reda Boussella, Maxence Chevreau, Margaux Janisset et Irma Kalt.
Départ du Frac.
Autant inspirée par la curiosité géologique du Mont-Dol, son site préhistorique et ses mammouths que par la présence supposée de cultes à travers les âges, Error folk présente une version « glitchée » de son histoire.
Démarche artistique sensible, « Seconde pot » combine une peinture murale et une création sonore. Germain Ipin et Marc-Antoine Granier sont allés à la rencontre de personnes entretenant un lien avec la prison Jacques-Cartier.
Pour Basalt, le parti pris est de s’intéresser à l’enregistrement, la reproduction et l’imitation de chants d’oiseaux par des moyens artificiels ; de créer une exposition sonore qui serait comme un chorus avicole faisant librement voisiner enregistrements et évocations sonores en faisant se rencontrer des espèces qui ne se côtoient pas forcément dans les espaces naturels.
Vernissage de l'exposition le jeudi 19 juin à partir de 18h.
